. . . . "En ergonomie, la charge de travail est le co\u00FBt d'une activit\u00E9. On distingue classiquement la charge physique et la charge mentale de travail. Ainsi, c\u2019est le niveau de sollicitation des ressources cognitives lors de la r\u00E9alisation d\u2019une t\u00E2che qui a \u00E9t\u00E9 conceptualis\u00E9e par la notion de charge cognitive. Une d\u00E9finition a minima de cette charge mentale est, selon Cegarra et Chevalier, \u00AB le rapport entre la demande de la t\u00E2che et les ressources disponibles \u00BB . On parle de et de . Il y a sous-charge de travail lorsque l'op\u00E9rateur ne dispose pas de suffisamment de travail pour maintenir son attention."@fr . . . . . "Carga de trabajo"@es . . . . . . . . . . "190498833"^^ . . . . . "Charge de travail"@fr . "En ergonomie, la charge de travail est le co\u00FBt d'une activit\u00E9. On distingue classiquement la charge physique et la charge mentale de travail. Ainsi, c\u2019est le niveau de sollicitation des ressources cognitives lors de la r\u00E9alisation d\u2019une t\u00E2che qui a \u00E9t\u00E9 conceptualis\u00E9e par la notion de charge cognitive. Une d\u00E9finition a minima de cette charge mentale est, selon Cegarra et Chevalier, \u00AB le rapport entre la demande de la t\u00E2che et les ressources disponibles \u00BB . Selon Jacques Leplat, \u00AB le travail est une activit\u00E9 et la charge de travail repr\u00E9sente ce que co\u00FBte cette activit\u00E9 \u00E0 celui qui la pratique. \u00BB Leplat d\u00E9finit donc la charge mentale comme les ressources cognitives mobilis\u00E9es par l\u2019op\u00E9rateur lui permettant de r\u00E9pondre aux exigences de la t\u00E2che. Par la suite, Meshkati (1988, p. 309) consid\u00E8re qu'elle refl\u00E8te \u00AB l\u2019interaction d\u2019\u00E9l\u00E9ments tels que les demandes des t\u00E2ches et du syst\u00E8me, les capacit\u00E9s de traitement et d\u2019effort de l\u2019op\u00E9rateur, les crit\u00E8res de performance subjectifs, le comportement de traitement de l\u2019information, les strat\u00E9gies de l\u2019op\u00E9rateur et, la formation ainsi que l\u2019exp\u00E9rience ant\u00E9rieure des op\u00E9rateurs \u00BB. Dans les ann\u00E9es 2000, Wickens (2000) dit qu'il faut consid\u00E9rer les relations entre l\u2019offre (ressources disponibles) et la demande (exigences). Cela implique d'admettre l'importance des variations de charge mentale ressentie par l\u2019op\u00E9rateur au cours de l\u2019ex\u00E9cution d'une m\u00EAme t\u00E2che. Le concept, si il gagne en clart\u00E9, n'en devient pas moins labile selon Martin et al. On parle de et de . Il y a surcharge de travail lorsque les ressources de l'op\u00E9rateur sont d\u00E9pass\u00E9es par le co\u00FBt que n\u00E9cessite le travail. Ce co\u00FBt peut \u00EAtre influenc\u00E9 par les limites propres \u00E0 l'op\u00E9rateur. Il y a sous-charge de travail lorsque l'op\u00E9rateur ne dispose pas de suffisamment de travail pour maintenir son attention."@fr . . "Workload"@pt . . . . "5626"^^ . . . . . . . . . "Arbeitsbeanspruchung"@de . . . . . . . . . . "738061"^^ . . . . . .