. . . . . . . . . . . . . . . . "Carlos Chagas"@fr . . . . . . . . "\u0643\u0627\u0631\u0644\u0648\u0633 \u0634\u0627\u063A\u0627\u0633"@ar . . . . . . . . . . . . . . . . . "165775017"^^ . . . . . . "Carlos Justiniano Ribeiro Chagas, ou Carlos Chagas (n\u00E9 \u00E0 Oliveira, (Minas Gerais, Br\u00E9sil) le 9 juillet 1879 \u2013 mort \u00E0 Rio de Janeiro le 8 novembre 1934), est un m\u00E9decin br\u00E9silien. Il d\u00E9couvre en 1909 la maladie de Chagas, aussi appel\u00E9e trypanosomiase am\u00E9ricaine, alors qu'il travaille \u00E0 l'Institut Oswald-Cruz de Rio de Janeiro. Le travail de Chagas est unique dans l'histoire de la m\u00E9decine, il fut en effet le seul chercheur \u00E0 d\u00E9crire compl\u00E8tement une nouvelle maladie infectieuse en allant du vecteur (Triatominae) jusqu'\u00E0 l'\u00E9pid\u00E9miologie en passant par l'agent pathog\u00E8ne, l'h\u00F4te et les manifestations cliniques."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "194194"^^ . . . . . . . . . . . . . . "10914"^^ . . "Carlos Chagas"@es . . . . . . . . "Carlos Chagas"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Carlos Justiniano Ribeiro Chagas, ou Carlos Chagas (n\u00E9 \u00E0 Oliveira, (Minas Gerais, Br\u00E9sil) le 9 juillet 1879 \u2013 mort \u00E0 Rio de Janeiro le 8 novembre 1934), est un m\u00E9decin br\u00E9silien. Il d\u00E9couvre en 1909 la maladie de Chagas, aussi appel\u00E9e trypanosomiase am\u00E9ricaine, alors qu'il travaille \u00E0 l'Institut Oswald-Cruz de Rio de Janeiro. Le travail de Chagas est unique dans l'histoire de la m\u00E9decine, il fut en effet le seul chercheur \u00E0 d\u00E9crire compl\u00E8tement une nouvelle maladie infectieuse en allant du vecteur (Triatominae) jusqu'\u00E0 l'\u00E9pid\u00E9miologie en passant par l'agent pathog\u00E8ne, l'h\u00F4te et les manifestations cliniques."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .