. . . . . . . . . . . "\u0633\u0631\u0637\u0627\u0646\u0629 \u0644\u0627\u0628\u062F\u0629"@ar . . . . "Un carcinome in situ ou cancer in situ (CIS) est un carcinome qui est limit\u00E9 \u00E0 l'\u00E9pith\u00E9lium. Ce stade pr\u00E9coce du cancer est caract\u00E9ris\u00E9 par une prolif\u00E9ration de cellules \u00E9pith\u00E9liales canc\u00E9reuses ne franchissant pas la membrane basale. Le tissu conjonctif sous-jacent n'est pas touch\u00E9 et les m\u00E9tastases sont donc impossibles. Typiquement, le carcinome in situ \u00E9volue vers un carcinome invasif, c'est-\u00E0-dire qu'il peut franchir la membrane basale de l'\u00E9pith\u00E9lium. Toutefois, en principe il peut demeurer confin\u00E9 plusieurs ann\u00E9es, voire r\u00E9gresser spontan\u00E9ment."@fr . . . . . . . . . . . . . . "Carcinome in situ"@fr . . "Carcinoma in situ"@it . . . . . . . . . . . "\u539F\u4F4D\u764C"@zh . "Carcinoma in situ"@ca . . "Carcinoma in situ"@pt . . . . "1681"^^ . . . . "Carcinoma in situ"@de . . . "2697968"^^ . . . . "Un carcinome in situ ou cancer in situ (CIS) est un carcinome qui est limit\u00E9 \u00E0 l'\u00E9pith\u00E9lium. Ce stade pr\u00E9coce du cancer est caract\u00E9ris\u00E9 par une prolif\u00E9ration de cellules \u00E9pith\u00E9liales canc\u00E9reuses ne franchissant pas la membrane basale. Le tissu conjonctif sous-jacent n'est pas touch\u00E9 et les m\u00E9tastases sont donc impossibles. Typiquement, le carcinome in situ \u00E9volue vers un carcinome invasif, c'est-\u00E0-dire qu'il peut franchir la membrane basale de l'\u00E9pith\u00E9lium. Toutefois, en principe il peut demeurer confin\u00E9 plusieurs ann\u00E9es, voire r\u00E9gresser spontan\u00E9ment. Dans le cas du sein, la notion de carcinome in situ peut avoir une d\u00E9finition diff\u00E9rente. En effet, si le carcinome canalaire in situ est consid\u00E9r\u00E9 comme un cancer, ce n'est pas le cas pour le carcinome lobulaire in situ qui est plut\u00F4t consid\u00E9r\u00E9 comme un facteur de risque de cancer infiltrant."@fr . . . . . "178523050"^^ . . . . . . . .