. . . . "RPG"@fr . . . . "188971322"^^ . . . . . . . . . . "Avernum"@en . . . . . "1796238"^^ . . "Avernum"@fr . . . . . "Avernum est une s\u00E9rie de jeux vid\u00E9o de r\u00F4le se d\u00E9roulant dans un univers m\u00E9di\u00E9val-fantastique, d\u00E9velopp\u00E9s et \u00E9dit\u00E9s par Spiderweb Software. Depuis le premier opus sorti en 1995, la s\u00E9rie s'est vue compl\u00E9t\u00E9e de nombreuses suites et d'un spin-off. Avernum, tout comme Exile, est en partagiciel. Le joueur a acc\u00E8s \u00E0 une vaste partie du jeu sans restrictions, jusqu'\u00E0 ce qu'il atteigne un certain point, \u00E0 partir duquel il ne peut plus progresser. Seul l'achat du jeu complet permettra au joueur de poursuivre la partie jusqu'au bout."@fr . "1995"^^ . "Avernum est une s\u00E9rie de jeux vid\u00E9o de r\u00F4le se d\u00E9roulant dans un univers m\u00E9di\u00E9val-fantastique, d\u00E9velopp\u00E9s et \u00E9dit\u00E9s par Spiderweb Software. Depuis le premier opus sorti en 1995, la s\u00E9rie s'est vue compl\u00E9t\u00E9e de nombreuses suites et d'un spin-off. \u00C0 l'origine, la saga reposait sur la trilogie Exile et le spin-off Blades of Exile. Devant le succ\u00E8s remport\u00E9 par ces quatre jeux, Spiderweb Software a d\u00E9cid\u00E9 fin 1990 de les r\u00E9-\u00E9diter, avec une interface plus moderne et des graphismes am\u00E9lior\u00E9s. La trilogie Avernum et le spin-off Blades of Avernum verront rapidement le jour, et l\u00E0 encore, ils recevront de bonnes critiques. Leur succ\u00E8s poussera Spiderweb Software \u00E0 compl\u00E9ter la s\u00E9rie de deux nouveaux opus (Avernum 4 et 5), avec une nouvelle interface. Avernum, tout comme Exile, est en partagiciel. Le joueur a acc\u00E8s \u00E0 une vaste partie du jeu sans restrictions, jusqu'\u00E0 ce qu'il atteigne un certain point, \u00E0 partir duquel il ne peut plus progresser. Seul l'achat du jeu complet permettra au joueur de poursuivre la partie jusqu'au bout."@fr . . . . . . . "Avernum"@fr . "Jeff Vogel"@fr . . . . . . . . . . . . . . "13757"^^ . . . . . . . . . . . . . . . .