. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u5B89\u5FB7\u70C8\u00B7\u7D00\u5FB7"@zh . . . . . . . . . . . . . . "http://www.gidiana.net/Biblio.correspondances.html|site=www.gidiana.net|consult\u00E9 le=2017-05-03"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Mercure de France"@fr . . "Andr\u00E9 Gide"@nl . . . . . "oui"@fr . . . . . "Andr\u00E9 Gide"@ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gallimard"@fr . . . . . "Sagaert"@fr . . . "1893"^^ . . . . . . . . . . "1899"^^ . "1911"^^ . . . . "1906"^^ . . "oui"@fr . "sur les pas des \u00E9crivains"@fr . . . . "1927"^^ . . "1925"^^ . . . . . . . "Gide"@fr . "d'ici et d'ailleurs"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u0623\u0646\u062F\u0631\u064A\u0647 \u062C\u064A\u062F"@ar . . . . . "2008"^^ . . "1869-11-22"^^ . . . . . . . . . "2009"^^ . . . . . . . "2016"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Le Journal des Faux-Monnayeurs"@fr . . . . "Andr\u00E9 Gide"@fr . . . . . . . . . . "N\u00EEmes"@fr . . . . . . "Bernard"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "978"^^ . . . "979"^^ . . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Paul Guillaume Gide"@en . . . . . "fr"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Catherine Berni\u00E9-Boissard, Michel Boissard et Serge Velay"@fr . "Les \u00E9crivains vagabondent"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . "Amyntas"@fr . . . . . . "Rouen"@fr . . . . "biblio.correspondances"@fr . . . . . . "Alcide"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Bastide"@fr . . . . . . . "Andr\u00E9 Gide"@fr . . . . . "Andr\u00E9 Gide"@pt . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Gide"@it . . . . . . . . . . . "113"^^ . . . . . . . . . . "105"^^ . . . . . . . "Category:Andr\u00E9 Gide"@fr . . . . "88"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . "74877"^^ . . . . . . . . . "2"^^ . . "197"^^ . . . . . . . . "Andr\u00E9 Gide est un \u00E9crivain fran\u00E7ais, n\u00E9 le 22 novembre 1869 \u00E0 Paris 6e et mort le 19 f\u00E9vrier 1951 \u00E0 Paris 7e. Apr\u00E8s une jeunesse perturb\u00E9e par le puritanisme de son milieu, jeune Parisien qui se lie d'une amiti\u00E9 intense et tourment\u00E9e avec Pierre Lou\u00FFs, il tente de s'int\u00E9grer au milieu litt\u00E9raire post-symboliste et d'\u00E9pouser sa cousine. Une rencontre avec Oscar Wilde et un voyage initiatique avec Paul Albert Laurens le font rompre avec le protestantisme et vivre sa p\u00E9d\u00E9rastie. Il \u00E9crit notamment Paludes qui cl\u00F4ture sa p\u00E9riode symboliste et, apr\u00E8s la mort \u00AB lib\u00E9ratrice \u00BB de sa m\u00E8re, ses noces avec sa cousine Madeleine en 1895, il ach\u00E8ve Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salu\u00E9 par une partie de la critique \u00E0 sa parution en 1897 mais qui est aussi critiqu\u00E9 pour son individualisme. Apr\u00E8s des \u00E9checs au th\u00E9\u00E2tre, il s'affirme comme un romancier moderne dans la construction et dans les th\u00E9matiques et s'impose dans les revues litt\u00E9raires. Si Andr\u00E9 Gide y soutient le combat des dreyfusards, mais sans militantisme, il pr\u00E9f\u00E9re les amiti\u00E9s litt\u00E9raires \u2014 Roger Martin du Gard, Paul Val\u00E9ry ou Francis Jammes \u2014, amiti\u00E9s qui s'effacent parfois avec le temps comme celle de Pierre Lou\u00FFs. C'est avec ces amis qu'il fonde La Nouvelle Revue fran\u00E7aise (NRF), dont il est le chef de file et joue d\u00E8s lors un r\u00F4le important dans les lettres fran\u00E7aises. Parall\u00E8lement, il publie des romans sur le couple qui le font conna\u00EEtre, comme L'Immoraliste en 1902 ou La Porte \u00E9troite en 1909. Ses autres romans publi\u00E9s avant et apr\u00E8s la Premi\u00E8re Guerre mondiale \u2014 Les Caves du Vatican (1914) d\u00E9lib\u00E9r\u00E9ment disloqu\u00E9, La Symphonie pastorale (1919), son livre le plus lu, traitant du conflit entre la morale religieuse et les sentiments, Les Faux-monnayeurs (1925) \u00E0 la narration non lin\u00E9aire \u2014 l'\u00E9tablissent comme un \u00E9crivain moderne de premier plan auquel on reproche parfois une certaine pr\u00E9ciosit\u00E9. Les pr\u00E9occupations d'une vie priv\u00E9e marqu\u00E9e par l'homosexualit\u00E9 assum\u00E9e et le d\u00E9sir de bousculer les tabous sont \u00E0 l'origine de textes plus personnels comme Corydon (publi\u00E9 tardivement en 1924) o\u00F9 il d\u00E9fend l'homosexualit\u00E9 et la p\u00E9d\u00E9rastie, puis Si le grain ne meurt (1926), r\u00E9cit autobiographique qui relate sa petite enfance bourgeoise, ses attirances pour les gar\u00E7ons et sa v\u00E9n\u00E9ration pour sa cousine Madeleine, qu'il finit par \u00E9pouser tout en menant une vie priv\u00E9e compliqu\u00E9e. Son \u0153uvre trouve ensuite un nouveau souffle avec la d\u00E9couverte des r\u00E9alit\u00E9s du monde auxquelles il est confront\u00E9. Ainsi, le voyageur esth\u00E8te d\u00E9couvre l'Afrique noire et publie en 1927 le journal de son Voyage au Congo, dans lequel il d\u00E9nonce les pratiques des compagnies concessionnaires mais aussi celles de l'administration coloniale et l'attitude de la majorit\u00E9 des Europ\u00E9ens \u00E0 l'\u00E9gard des colonies. Au d\u00E9but des ann\u00E9es 1930, il s'int\u00E9resse au communisme, s'enthousiasme pour le r\u00E9gime sovi\u00E9tique, mais subit une d\u00E9sillusion lors de son voyage sur place \u00E0 l'\u00E9t\u00E9 1936. Il publie son t\u00E9moignage la m\u00EAme ann\u00E9e, Retour de l'U.R.S.S., qui lui vaut de virulentes attaques des communistes. Il persiste cependant dans sa d\u00E9nonciation du totalitarisme sovi\u00E9tique au moment des proc\u00E8s de Moscou et s'engage, parall\u00E8lement, dans le combat des intellectuels contre le fascisme. En 1940, accabl\u00E9 par les circonstances, il abandonne La Nouvelle Revue fran\u00E7aise et quasiment l'\u00E9criture en se repliant sur la C\u00F4te d'Azur, puis en Afrique du Nord durant la guerre. Apr\u00E8s le conflit, il est mis \u00E0 l'\u00E9cart de la vie litt\u00E9raire, mais honor\u00E9 par le prix Nobel de litt\u00E9rature en 1947, et il se pr\u00E9occupe d\u00E8s lors de la publication int\u00E9grale de son Journal. Il meurt le 19 f\u00E9vrier 1951."@fr . . . . . . . . "2014"^^ . . . "Andr\u00E9 Gide signature.svg" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "255"^^ . . "Nouvelle Revue fran\u00E7aise"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "190601474"^^ . . . . . "Balade dans le Gard"@fr . . "Nouvelle revue fran\u00E7aise"@fr . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Gide est un \u00E9crivain fran\u00E7ais, n\u00E9 le 22 novembre 1869 \u00E0 Paris 6e et mort le 19 f\u00E9vrier 1951 \u00E0 Paris 7e. Apr\u00E8s une jeunesse perturb\u00E9e par le puritanisme de son milieu, jeune Parisien qui se lie d'une amiti\u00E9 intense et tourment\u00E9e avec Pierre Lou\u00FFs, il tente de s'int\u00E9grer au milieu litt\u00E9raire post-symboliste et d'\u00E9pouser sa cousine. Une rencontre avec Oscar Wilde et un voyage initiatique avec Paul Albert Laurens le font rompre avec le protestantisme et vivre sa p\u00E9d\u00E9rastie. Il \u00E9crit notamment Paludes qui cl\u00F4ture sa p\u00E9riode symboliste et, apr\u00E8s la mort \u00AB lib\u00E9ratrice \u00BB de sa m\u00E8re, ses noces avec sa cousine Madeleine en 1895, il ach\u00E8ve Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salu\u00E9 par une partie de la critique \u00E0 sa parution en 1897 mais qui est aussi critiqu\u00E9 pour son individualisme"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "158"^^ . . "Paris"@fr . . . . "144"^^ . . . . . "Petit dictionnaire des \u00E9crivains du Gard"@fr . . . "135"^^ . . "Andr\u00E9 Gide"@an . . . . . . . . . . "H. Jonqui\u00E8res"@fr . . . . . . . . . "L'Art ind\u00E9pendant"@fr . . . . . . . . . . "Andr\u00E9 Gide"@fr . . . . . . . . . . . "Alexandrines"@fr . . . . . . . . "Au petit bonheur"@fr . . . . . . . "\u0416\u0438\u0434, \u0410\u043D\u0434\u0440\u0435"@ru . . "291"^^ . . . . . . . . . . . . . "Martine Sagaert"@fr . . . "Martine"@fr . . . . . . . . . . . "503"^^ . . . . . . . . . "http://www.alexandrines.fr/alexandrines-la-france-des-ecrivains/guide-litteraire-sur-les-pas-des-ecrivains/64-balade-dans-le-gard.html|titre chapitre=Toi, un Gide..."@fr . . . . . . . . . . . . . .