. . . . "Adage (ballet)"@fr . "Adage (barrez)"@br . "1169"^^ . "En danse classique, l\u2019adage est une suite de mouvements amples ex\u00E9cut\u00E9s sur un tempo lent. Le mot, emprunt\u00E9 \u00E0 l'italien adagio, appara\u00EEt vers 1820 dans les th\u00E9ories d\u00E9velopp\u00E9es par Carlo Blasis, qui pr\u00E9conise des mouvements li\u00E9s, recherchant le \u00AB moelleux \u00BB, le \u00AB fondu \u00BB. D\u00E8s lors, les grands ma\u00EEtres \u00E9laborent des exercices et entra\u00EEnent les danseurs \u00E0 perfectionner leur technique. Durant les cours, l'adage permet de contr\u00F4ler le corps et l'\u00E9quilibre en ex\u00E9cutant des mouvements comme des arabesques, des promenades, en veillant \u00E0 la beaut\u00E9 du geste et \u00E0 la coordination des diff\u00E9rentes parties du corps (dont la t\u00EAte). Sur sc\u00E8ne, l'adage est g\u00E9n\u00E9ralement interpr\u00E9t\u00E9 par deux danseurs, ce qui permet l'introduction de port\u00E9s ; il doit r\u00E9aliser une combinaison harmonieuse entre les deux partenaires. L'adage constitue aussi la premi\u00E8re partie d'un pas de deux au XIXe si\u00E8cle ; il est suivi par la variation du danseur, puis de la danseuse, avant la coda qui r\u00E9unit les deux danseurs. \n* Portail de la danse"@fr . "2770885"^^ . . . . . "En danse classique, l\u2019adage est une suite de mouvements amples ex\u00E9cut\u00E9s sur un tempo lent. Le mot, emprunt\u00E9 \u00E0 l'italien adagio, appara\u00EEt vers 1820 dans les th\u00E9ories d\u00E9velopp\u00E9es par Carlo Blasis, qui pr\u00E9conise des mouvements li\u00E9s, recherchant le \u00AB moelleux \u00BB, le \u00AB fondu \u00BB. D\u00E8s lors, les grands ma\u00EEtres \u00E9laborent des exercices et entra\u00EEnent les danseurs \u00E0 perfectionner leur technique. Sur sc\u00E8ne, l'adage est g\u00E9n\u00E9ralement interpr\u00E9t\u00E9 par deux danseurs, ce qui permet l'introduction de port\u00E9s ; il doit r\u00E9aliser une combinaison harmonieuse entre les deux partenaires. \n* Portail de la danse"@fr . . . . . . "176742090"^^ . . . . . . .