. . . . . . . . . . . "47.52416667 -2.48333333" . . . "Morbihan/Bretagne/France"@fr . "188649698"^^ . . . . . . . . . . "B\u00E2timent principal de l'abbaye."@fr . . . . . . . . . "Abbaye de Notre-Dame de Pri\u00E8res"@fr . . . "POINT(-2.4833333492279 47.524166107178)"^^ . "-2.4875"^^ . . . "4940962"^^ . . . . . . . . . . "Abbaye Notre-Dame de Pri\u00E8res"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . "1790"^^ . . . . . . . "47.5242"^^ . . . . . . . . . . . . . "--12-24"^^ . . "47.5239"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "L'abbaye Notre-Dame de Pri\u00E8res est une ancienne et importante abbaye cistercienne situ\u00E9e sur la commune de Billiers, dans le d\u00E9partement fran\u00E7ais du Morbihan. Selon Bertrand d'Argentr\u00E9, son nom proviendrait des pri\u00E8res et des messes qu'on y offrait pour les naufrag\u00E9s.Depuis sa fondation au XIIIe si\u00E8cle, jusqu'\u00E0 la disparition de la communaut\u00E9 religieuse en 1790, l'abbaye a connu des p\u00E9riodes de gloire ou de ferveur, comme des \u00E9pisodes de rel\u00E2chement et de d\u00E9clin. Il n'en demeure aujourd'hui que des vestiges."@fr . . . "1252"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "-2.48333"^^ . "Abbaye de Pri\u00E8res"@fr . . . "16331"^^ . . . . . . . . . . "POINT(-2.4833333492279 47.524166107178)"^^ . . . "L'abbaye Notre-Dame de Pri\u00E8res est une ancienne et importante abbaye cistercienne situ\u00E9e sur la commune de Billiers, dans le d\u00E9partement fran\u00E7ais du Morbihan. Selon Bertrand d'Argentr\u00E9, son nom proviendrait des pri\u00E8res et des messes qu'on y offrait pour les naufrag\u00E9s.Depuis sa fondation au XIIIe si\u00E8cle, jusqu'\u00E0 la disparition de la communaut\u00E9 religieuse en 1790, l'abbaye a connu des p\u00E9riodes de gloire ou de ferveur, comme des \u00E9pisodes de rel\u00E2chement et de d\u00E9clin. Il n'en demeure aujourd'hui que des vestiges. Les marais d\u00E9serts, proches de l'oc\u00E9an conviennent aux cisterciens, ou \u00AB moines blancs \u00BB, qui souhaitent \u00EAtre en retrait de la soci\u00E9t\u00E9. Fille de l'abbaye de Buzay, la fortune de l'abbaye est li\u00E9e, dans les premiers si\u00E8cles de son existence, \u00E0 sa proximit\u00E9 avec les ducs de Bretagne, qui en sont les fondateurs et les principaux bienfaiteurs. Elle acquiert alors une puissance fonci\u00E8re qui lui assure de larges revenus. Spoli\u00E9e par ses abb\u00E9s commendataires au XVIe si\u00E8cle, elle retrouve la r\u00E9gularit\u00E9 au si\u00E8cle suivant et devient un centre d'impulsion de la r\u00E9forme de l'ordre de C\u00EEteaux en diffusant la stricte observance en lien avec l'abb\u00E9 de Ranc\u00E9 et la Trappe. La reconstruction de l'\u00E9glise et des b\u00E2timents conventuels aux XVIIe et XVIIIe si\u00E8cles t\u00E9moignent de sa prosp\u00E9rit\u00E9. Cependant, comme beaucoup de ses s\u0153urs, elle peine \u00E0 recruter et ses \u00E9difices sont trop vastes pour les quelques moines qui l'habitent. Elle est vendue comme bien national sous la R\u00E9volution fran\u00E7aise, utilis\u00E9e comme caserne puis comme carri\u00E8re de pierres, tandis que ses \u0153uvres d'art et sa biblioth\u00E8que sont dispers\u00E9es. Son nouveau propri\u00E9taire au XIXe si\u00E8cle ne parvient \u00E0 pr\u00E9server qu'une petite partie des b\u00E2timents, qui abritent aujourd'hui un centre de r\u00E9insertion."@fr . . .