. . . . . . . . "Vangelo di Nicodemo"@it . . . . . . . . . . . . . . . . . "Atelier"@fr . . "Ewangelia Nikodema"@pl . . . . . . . . . "Ponce Pilate"@fr . . "14104"^^ . . . . . . . . "\u00C9vangile de Nicod\u00E8me et Actes de Pilate sont les noms usuels d'un \u00E9vangile apocryphe compos\u00E9 en grec au IVe si\u00E8cle. Dans sa forme originale (recension grecque A), il raconte le proc\u00E8s et la mort de J\u00E9sus puis, \u00E0 travers la figure de Joseph d'Arimathie et de trois Galil\u00E9ens, la R\u00E9surrection et l'Ascension du Christ ; il cite notamment les \u00E9vangiles canoniques et insiste sur le fait que J\u00E9sus accomplit les proph\u00E9ties de l'Ancien Testament. Rapidement traduit en latin, il connut en Occident un tr\u00E8s grand succ\u00E8s, dont t\u00E9moignent plus de 400 manuscrits ; au cours de sa diffusion en Occident, il fut compl\u00E9t\u00E9 \u00E0 l'aide de r\u00E9cits de la descente du Christ aux enfers. La forme la plus r\u00E9pandue au Moyen \u00C2ge (recension latine A) peut \u00EAtre dat\u00E9e du VIe si\u00E8cle ; elle a \u00E9t\u00E9 traduite au IXe si\u00E8cle/Xe si\u00E8cle en grec, donnant naissance aux recensions byzantines (formes grecques M), dans lesquelles Marie joue un r\u00F4le important. L'\u00C9vangile de Nicod\u00E8me a fortement influenc\u00E9 la culture occidentale ; il a \u00E9t\u00E9 souvent cit\u00E9 et exploit\u00E9 au Moyen \u00C2ge, aussi bien dans les encyclop\u00E9dies m\u00E9di\u00E9vales et dans des chroniques historiques que des manuels de pr\u00E9dication ; son utilisation dans la L\u00E9gende dor\u00E9e de Jacques de Voragine a certainement favoris\u00E9 son succ\u00E8s ; il est, en outre, \u00E0 la source d'une partie des l\u00E9gendes sur le Graal. \u00C0 partir de la Renaissance, son succ\u00E8s ira en diminuant, en raison du r\u00E9cit de la descente du Christ aux enfers, s\u00E9v\u00E8rement critiqu\u00E9. Son influence dans le christianisme de langue grecque a \u00E9t\u00E9 beaucoup plus r\u00E9duite. Contrairement \u00E0 ce que l'on a longtemps pens\u00E9, il semble n'avoir eu une influence sur l'iconographie que tr\u00E8s tardivement (XVIIe si\u00E8cle) ; il n'est donc pas \u00E0 la source des ic\u00F4nes de la R\u00E9surrection."@fr . . . . . . . . "\u00C9vangile de Nicod\u00E8me"@fr . . . "Evangeli de Nicodem"@ca . . . "\u00C9vangile de Nicod\u00E8me et Actes de Pilate sont les noms usuels d'un \u00E9vangile apocryphe compos\u00E9 en grec au IVe si\u00E8cle. Dans sa forme originale (recension grecque A), il raconte le proc\u00E8s et la mort de J\u00E9sus puis, \u00E0 travers la figure de Joseph d'Arimathie et de trois Galil\u00E9ens, la R\u00E9surrection et l'Ascension du Christ ; il cite notamment les \u00E9vangiles canoniques et insiste sur le fait que J\u00E9sus accomplit les proph\u00E9ties de l'Ancien Testament. Rapidement traduit en latin, il connut en Occident un tr\u00E8s grand succ\u00E8s, dont t\u00E9moignent plus de 400 manuscrits ; au cours de sa diffusion en Occident, il fut compl\u00E9t\u00E9 \u00E0 l'aide de r\u00E9cits de la descente du Christ aux enfers. La forme la plus r\u00E9pandue au Moyen \u00C2ge (recension latine A) peut \u00EAtre dat\u00E9e du VIe si\u00E8cle ; elle a \u00E9t\u00E9 traduite au IXe si\u00E8cle/Xe si\u00E8cl"@fr . . . "Nikodemusevangelium"@de . . . "511415"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . "189848608"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Gospel of Nicodemus"@en . . . . . . . "Nikodemusevangeliet"@sv . . . . "2007"^^ . "Evangelie volgens Nikodemus"@af . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .