"Baron Hulot d'Ervy, mar\u00E9chal Hulot sa cousine, la baronne Hulot d'Ervy, son \u00AB amoureux \u00BB, le comte Wenceslas Steinbock, le fils de sa cousine, Victorin Hulot d'Ervy, la fille de sa cousine, la comtesse Hortense Steinbock,"@fr . . . "Ses cousins par alliance, baron Hulot d'Ervy, le mar\u00E9chal Hulot sa cousine, la baronne Hulot d'Ervy"@fr . . . . . "\u00C9lisabeth Fischer"@fr . "" . . "Bette"@fr . . . . . . "Bette Fischer parGeorges Cain" . "" . "4109146"^^ . "roman"@fr . . . ""@fr . . "Lisbeth Fischer est un personnage de La Com\u00E9die humaine d'Honor\u00E9 de Balzac qui appara\u00EEt uniquement dans La Cousine Bette. En 1838, Balzac la compare \u00E0 une araign\u00E9e au milieu de sa toile et il en fait la description suivante : \u00AB Paysanne des Vosges dans toute l'extension du mot, maigre, brune, les cheveux d'un noir luisant, les sourcils \u00E9pais et r\u00E9unis par un bouquet, les bras long et forts, les pieds \u00E9pais, quelques verrues dans sa face longue et simiesque, tel est le portrait concis de cette vierge. \u00BB Bien que plus jeune de cinq ans que sa cousine Adeline, elle la jalouse depuis leur petite enfance pour sa beaut\u00E9, et maintenant, parce qu'Adeline est baronne Hulot d'Ervy N\u00E9e en 1795 dans les Vosges, elle arrive \u00E0 Paris en 1809 o\u00F9 elle devient apprentie-brodeuse, puis ouvri\u00E8re en passementerie. Elle apprend seule \u00E0 lire, \u00E9crire et compter, et d\u00E8s 1811, elle est premi\u00E8re demoiselle dans le magasin des fr\u00E8res Pons o\u00F9 elle dirige la fabrication. Elle refuse l'offre de son cousin, le baron Hulot d'Ervy, de s'associer \u00E0 la maison Pons, elle redevient simple ouvri\u00E8re, et refuse cinq pr\u00E9tendants. En 1833, elle sauve du suicide son voisin d'immeuble, le comte Wenceslas Steinbock ; elle le met en apprentissage chez Florent et Chanor (maison o\u00F9 l'on cis\u00E8le le bronze). Elle s'\u00E9prend vite du jeune homme qu'elle consid\u00E8re comme \u00AB son amoureux \u00BB. Hortense, la fille d'Adeline Hulot, lui arrache des confidences sur cet homme en 1837. En 1838, Bette Fischer, qui a pour voisins d'immeuble les Marneffe, accepte de servir d'interm\u00E9diaire entre Val\u00E9rie Marneffe et le baron Hulot. Tandis qu'elle complote avec Val\u00E9rie Marneffe, Hortense Hulot et Wenceslas annoncent leur mariage. La cousine Bette enrage, elle envisage de reporter son d\u00E9pit sur le mar\u00E9chal Hulot, car en l'\u00E9pousant, elle deviendrait comtesse de Forzheim. Le vieux mar\u00E9chal meurt le 7 ao\u00FBt 1841, quatre jours avant la publication des bans du mariage. Sans domicile, elle va vivre avec Adeline et tombe malade. Horace Bianchon lui prodigue des soins, mais, d\u00E9pit\u00E9e de voir sa famille enfin heureuse, elle meurt cette m\u00EAme ann\u00E9e de phtisie aggrav\u00E9e."@fr . . . "250"^^ . . . . . . . . . . "" . ""@fr . . . . "Ouvri\u00E8re en passementerie" . "Lisbeth Fischer"@fr . "Bette"@fr . "172936900"^^ . "Bette Fischer par Georges Cain"@fr . . . "Lisbeth Fischer"@fr . . . . . . . . "Lisbeth Fischer est un personnage de La Com\u00E9die humaine d'Honor\u00E9 de Balzac qui appara\u00EEt uniquement dans La Cousine Bette. En 1838, Balzac la compare \u00E0 une araign\u00E9e au milieu de sa toile et il en fait la description suivante : \u00AB Paysanne des Vosges dans toute l'extension du mot, maigre, brune, les cheveux d'un noir luisant, les sourcils \u00E9pais et r\u00E9unis par un bouquet, les bras long et forts, les pieds \u00E9pais, quelques verrues dans sa face longue et simiesque, tel est le portrait concis de cette vierge. \u00BB Bien que plus jeune de cinq ans que sa cousine Adeline, elle la jalouse depuis leur petite enfance pour sa beaut\u00E9, et maintenant, parce qu'Adeline est baronne Hulot d'Ervy"@fr . . "3915"^^ . . . . . . . . . . . . . "Ouvri\u00E8re en passementerie"@fr . . . "La Com\u00E9die humaine" . "N\u00E9e dans les Vosges, fille d'un laboureur"@fr . .