. . . . . . . . "."@fr . . "100258"^^ . . . . . . . . "48.0686"^^ . . . . "Cloches"@fr . "Retables et statues"@fr . . . "POINT(-0.76639002561569 48.068599700928)"^^ . . "* 1267, Fr\u00E8re Eudes.\n* 1301, Gervese Dolebel \n* 1439, Jehan le Poitevin\n* 1450-1478, Guillaume le Bigot \n* 1494, Jehan le Bigot \n* 1514, Lezin Cheminard \n* 1518-1571, Robert de Dureil\n* 1568, Denys le Gaigneux\n* 1580-1587, Jehan Rebuff\u00E9 \n* 1587, Jean de la Court \n* 1587-1608, Fran\u00E7ois de Charnac\u00E9\n* 1611-16.., Jean Peslier \n* 16. -1660, Jacques Peslier\n* 1660-1665, Charles Testu de Pierrebasse\n* 1660-1694, Jacques des Loges\n* 1710-1720, Jean Raybaud \n* 1720-1741, Jean Rigault\n* 1741-1742, N.... Valentin\n* 1743-1744, Ren\u00E9 de Rosy\n* 1744-1786, L\u00E9on de S\u00E9v\u00E9rac\n* 1786-1809, Alexandre Gu\u00E9rin de la Roussardi\u00E8re\n* R\u00E9volution fran\u00E7aise ; Philippe S\u00E9guela, qui refuse\n* Charles-Fran\u00E7ois Dorlodot est nomm\u00E9 cur\u00E9 Constitutionnel en 1792. \n* Jean-Ren\u00E9 Cosnard \n* Louis-Andr\u00E9 Morisseau\n* Jacques Rufin\n* Fran\u00E7ois Bourgeois \n* 1809-1828, No\u00EBl-Fran\u00E7ois Changeon \n* 1846-1875, Fran\u00E7ois-Augustin G\u00E9rault"@fr . . . . . . . . . . "L'\u00E9glise Saint-V\u00E9n\u00E9rand est situ\u00E9e \u00E0 Laval en Mayenne. Elle date de la fin du XIVe si\u00E8cle. Elle comprend un vaste ch\u0153ur \u00E0 cinq nefs avec abside centrale."@fr . "si\u00E8cle"@fr . . . . . . . . . . . "#FFF8F8"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "--06-20"^^ . . . "Legs et fondations"@fr . . . . . . . . . "Le cimeti\u00E8re"@fr . . "Et ce voyant, mondit seigneur que sa ville augmentoit chacun jour en gros marchands, en \u00E9difices, et adverty du Saint Esprit, manda certains marchands et notables gens d'\u00E9glise, paroissiens de Saint-Melayne, qui fut en l'an 1485, o\u00F9 avoit \u00E9t\u00E9 l'ann\u00E9e pr\u00E9c\u00E9dente grande mortalit\u00E9 en cette dite ville de Laval, remonstre ledit seigneur aux dits paroissiens et qui all\u00E8rent par devers lui au chasteau de cette dite ville, qui leur estoit licite et convenable de trouver les fa\u00E7ons et mani\u00E8res qu'ils eussent es forsbourgs du Pont-de-Mayenne, autre \u00E9glise parochiale que l'\u00E9glise de Saint-Melayne, qu'ils eussent une certaine place \u00E0 icelle construire, qu'il la leur d\u00E9livreroit, d\u00E9chargeroit et indemneroit de toutes rentes et charges, que en communiquassent avecques les bourgeois, marchands et autres, et leur donneroit quelque belle relique pour grande augmentation et faire valoir la dite \u00E9glise"@fr . . . . . . "POINT(-0.76639002561569 48.068599700928)"^^ . . . . "Description"@fr . . "Extrait de Guillaume Le Doyen"@fr . "\u00C9glise Saint-V\u00E9n\u00E9rand de Laval"@fr . . . . . . . . . . "Laval/Mayenne/Pays de la Loire/France"@fr . . . . . "left"@fr . . . . . . . . "-0.76639"^^ . . . . . . "--05-13"^^ . . . . . "--04-17"^^ . . . . . . . . . . . . "--08-23"^^ . . . . "1686-05-23"^^ . . . . . . . "28800.0"^^ . "M\u00E9c\u00E8nes"@fr . . . "48.0686 -0.76639" . "L'\u00E9glise Saint-V\u00E9n\u00E9rand est situ\u00E9e \u00E0 Laval en Mayenne. Elle date de la fin du XIVe si\u00E8cle. Elle comprend un vaste ch\u0153ur \u00E0 cinq nefs avec abside centrale."@fr . . "Extrait de la relation de Guillaume Le Doyen"@fr . . . . . . . . . . . . . . . "* Andr\u00E9 de Quesnay, seigneur de la Merveille fait \u00E9lever les deux premi\u00E8res trav\u00E9es de la nef, 1520.\n* Jeanne du Breil, veuve de ce bienfaiteur, et sa belle-m\u00E8re, Jeanne Lemercier de Grasmenil, veuve de Guillaume du Quesnay, payent le pav\u00E9 et le blanchissement, 1520, puis la troisi\u00E8me trav\u00E9e de la nef, 1521, ainsi que la prolongation de la nef, 1522.\n* Jean Boullain donne la grande vitre pr\u00E8s l'autel de Notre-Dame.\n* Guillaume Le Clerc amortit une rente de huit livres dont le fonds \u00E9tait grev\u00E9, 1521.\n* Nicolas Martin, seigneur de la Motte fit b\u00E2tir \u00E0 ses frais l'autel de Saint Nicolas, il avait aussi donn\u00E9 la grande figure de tuffe de Saint Christophe que l'on voyait \u00E0 l'entr\u00E9e de l'\u00E9glise.\n* Pierre Le Clerc fait, \u00E0 ses frais, construire au c\u00F4t\u00E9 de l'\u00E9p\u00EEtre, une chapelle qui re\u00E7oit le nom de Saint Guillaume, 1521\n* Pierre Bondy fait faire les fonts sur la tombe de Perrine No\u00EBl sa femme, 1521.\n* Jean Tripier donne l'autel et l'image de Saint-Claude, ainsi que sa maison et jardin, 1522.\n* Les deux bras du transept sont de bonne heure allong\u00E9s \u00E0 leurs extr\u00E9mit\u00E9s. Jean Boulain en 1521 et Fran\u00E7ois de Launay en 1525 font poser des grandes verri\u00E8res. \n* On commen\u00E7a en 1522 le portail au bas de la nef, au lieu du pignon qui terminait l'\u00E9glise de ce c\u00F4t\u00E9. Elle fut allong\u00E9e de deux trav\u00E9es au-dessous des fonts baptismaux, jusqu'\u00E0 la rue du Pont-de-Mayenne, dans l'espace qui servait de cimeti\u00E8re. La date qui se trouve sur le campanile terminant la tourelle de L'escalier nous apprend que le portail ne fui termin\u00E9 qu'en 1556. \n* En 1530, on se d\u00E9cide \u00E0 allonger le ch\u0153ur et \u00E0 b\u00E2tir la chapelle qui lui fait suite. \n* Fouquet Richer, procureur de la fabrique, pait de ses deniers la sculpture, \u00AB la taille \u00BB du pignon, 1530.\n* Au mois de novembre 1550, le chevet est construit.\n* Le Ch\u0153ur et chapelle \u00E9taient vo\u00FBt\u00E9s en 1565, comme l'atteste l'inscription grav\u00E9e sur la vo\u00FBte de l'abside. \n* Un nouveau terrain est achet\u00E9 derri\u00E8re la chapelle Saint Guillaume, en 1580, dans le dessein d'agrandir l'\u00E9glise. Jehan Nail et Fran\u00E7ois Ernault, procureurs fabriciens, achet\u00E8rent de Julienne Loriot, veuve de Jean Le Balleur, demeurant au faubourg du Pont-de-Mayenne, une petite maison situ\u00E9e dans la cour Chevalier, pr\u00E8s de l'Eglise, c\u00F4t\u00E9 du couchant Cette maison \u00E9tait dans les limites du fief de Chanteloup ; Ren\u00E9 du Bellay, seigneur de la Flotte, d'Hauterives, Chanteloup, Chambotz et Neuvy, chevalier de l'ordre du roi, gentilhomme de sa chambre, l'acquitta des droits de vente qui lui \u00E9taient dus. L'assembl\u00E9e de paroisse prit envers lui l'engagement de faire graver ses armes sur une pierre de taille ou de tuffeau, au lieu le plus \u00E9lev\u00E9 et le plus \u00E9minent de la chapelle que l'on allait construire.\n* En 1602, on faisait le transepts du c\u00F4t\u00E9 de l'Epitre et de la chapelle Saint Laurent. La chapelle derri\u00E8re celle de Saint Guillaume ne commen\u00E7ait qu'en 1603. Elle fut d\u00E9di\u00E9e \u00E0 saint J\u00E9r\u00F4me. Antoine Berset, alors vicaire de Saint-V\u00E9n\u00E9rand, posa la premi\u00E8re pierre de la vo\u00FBte en 1604\n* On agrandit le collat\u00E9ral du c\u00F4t\u00E9 de l'\u00E9pitre, en construisant de 1602 \u00E0 1606 des chapelles o\u00F9 l'on \u00E9leva un autel \u00E0 saint Laurent. \n* En mai 1606, J\u00E9r\u00F4me Saybouez et Ren\u00E9e Le Clerc son \u00E9pouse s'engag\u00E8rent \u00E0 y construire un bel autel. Leur promesse ne fut ex\u00E9cut\u00E9e qu'en 1619. \n* On construit en 1610, un jub\u00E9 ou ambon au-devant du ch\u0153ur ; il fut d\u00E9moli en 1697 et les mat\u00E9riaux employ\u00E9s \u00E0 construire le retable de l'autel Sainl Andr\u00E9, par les soins d'Andr\u00E9 Goustard, alors receveur des tailles du comt\u00E9 de Laval."@fr . . . . . . . . . . . "--01-07"^^ . . . . "422918"^^ . . . . . "--05-25"^^ . . . . . . . . . "PRIEURS-CUR\u00C9S QUI ONT ADMINISTR\u00C9 LA PAROISSE DE SAINT-MELAINE ET SAINT-V\u00C9N\u00C9RAND"@fr . . . . . "189328801"^^ . . . . . "Gr\u00E2ce \u00E0 un plan g\u00E9n\u00E9ral auquel toutes ses parties semblent avoir \u00E9t\u00E9 toujours soumises, l'\u00E9glise de Saint-V\u00E9n\u00E9rand pr\u00E9sente, dans son ensemble, par sa grande r\u00E9gularit\u00E9, un tout complet dans de belles proportions. Elle se compose d'une nef principale et bas-c\u00F4t\u00E9s, avec transepts. Ses bas c\u00F4t\u00E9s se prolongent, derri\u00E8re le sanctuaire, en collat\u00E9raux, et forment un d\u00E9ambulatoire. En arri\u00E8re, deux chapelles se terminant carr\u00E9ment chacune par un autel, font comme doubles collat\u00E9raux. Le chevet se termine par une chapelle en rond-point formant abside.\n\nLa partie d\u00E9cor\u00E9e est le portail, plac\u00E9 au bas de la nef, sur la rue du Pont-de-Mayenne. Tout le luxe de la d\u00E9coration semble y avoir \u00E9t\u00E9 r\u00E9serv\u00E9. On y retrouve tous les ornements du style ogival de la plus belle \u00E9poque. Il fut, commenc\u00E9 en 1523 et termin\u00E9 en 1594. Ils se compose de quatre piliers massifs ; des clochetons terminent les deux ext\u00E9rieurs. Ceux du milieu sont reli\u00E9s par une vo\u00FBte faisant portique, dont le plafond est enrichi d'ornements divers. La porte est accompagn\u00E9e de quatre colonnes quadrangulaires, surmont\u00E9es chacune de deux autres colonnettes superpos\u00E9es, celles interm\u00E9diaires contourn\u00E9es en spirale, les sup\u00E9rieures garnies de \nchevilles. Leur chapiteau est form\u00E9 de deux.consoles qui servent \u00E0 supporter des statues. Au-dessus, \u00E0 une assez grande \u00E9l\u00E9vation, sont deux dais avec festons, clochetons et aiguilles.\n\nLa porte est carr\u00E9e : au milieu du linteau, l'architecte avait grav\u00E9 sur la pierre une lettre gothique en forme d'un M. Les deux pieds-droits, compos\u00E9s d'un faisceau de colonnettes, se prolongent au-dessus et se terminent par une ogive tr\u00E8s aigu\u00EB, formant un vaste tympan, au milieu duquel un bas-relief repr\u00E9sentait jadis un tombeau, d'o\u00F9 sortait une figure d'homme, image, disait-on, dans le temps, du Jugement Dernier. Au-dessous se lisaient ces mots : Virjustus salvabitur, et ego miser ubi parebo ? \n\nDes arcatures dans le style ogival secondaire d\u00E9corent le mur au-dessus de la porte ; elles servaient d'encadrement \u00E0 des statues plac\u00E9es sur des consoles orn\u00E9es de festons. Elles \u00E9taient couronn\u00E9es de dais en forme de petits \u00E9difices, avec galeries, arcs-boutants, contreforts, aiguilles et clochetons. Une belle rosace termine toute cette d\u00E9coration.\n\nA la naissance de la vo\u00FBte du portique, une corniche \u00E9norme supporte des pilastres qui soutiennent une architrave, au-dessus de laquelle est un lourd entablement avec modillons compos\u00E9s de feuilles contourn\u00E9es. Un vaste fronton triangulaire, avec un \u0153il-de-b\u0153uf au milieu, termine l'\u0153uvre A son sommet et \u00E0 ses extr\u00E9mit\u00E9s, sont d'\u00E9normes ornements qui rappellent des urnes fun\u00E9raires.\n\nUne tourelle aux trois quarts engag\u00E9e dans l'angle d'un pilastre, formant cul-de-lampe, par sa partie inf\u00E9rieure, contient l'escalier qui conduit aux combles de l'\u00E9glise. Une coupole soutenue par des pilastres la surmonte, et elle est termin\u00E9e par une lanterne qui lui forme comme une couronne l\u00E9g\u00E8re. On voit sur cette partie de l'\u00E9glise la date de 1556.\n\nAu , l'administration municipale a d\u00E9gage le portail en d\u00E9molissant les \u00E9choppes qui obstruaient l'entre-deux des pilastres. L'abb\u00E9 G\u00E9rault, cur\u00E9, a fait ouvrir, \u00E0 la place des \u00E9choppes, deux portes lat\u00E9rales dans le style du portail."@fr . . . "Confr\u00E9ries"@fr . . . . . . .