prop-fr:texte
| - Ces fours électriques de fusion sont alimentés par 3 grandes électrodes en graphite mesurant chacune de diamètre et de long. Chaque électrode transporte environ , la puissance d'un four variant de . (fr)
- Cette configuration rappelle le procédé Krupp-Renn, un sidérurgique de réduction directe inventé en Allemagne dans les années 1930. Au cours du , les Japonais améliorent régulièrement ce procédé et le dédient à l'extraction du nickel. Au début du , la fonderie de Nihon Yakin Kogyo à Ōeyama, au Japon, reste la seule usine du monde à utiliser le procédé Krupp-Renn pour la production de ferronickel, avec une production mensuelle de de luppen. (fr)
- En 2011, il existe 9 fours de fusion flash dans le monde : 7 fours de type Outotec assurant 70 % de la fusion flash de nickel, et 2 fours de type Inco assurant les 30 % restants. (fr)
- Il existe encore le procédé de l'entreprise « Le Nickel » : au lieu d'ajouter le soufre dans le four rotatif de réduction directe, il est injecté plus tard, dans le convertisseur Peirce-Smith, au moment où celui-ci souffle le ferronickel en fusion. (fr)
- Le fer est donc évacué sous forme d'oxyde par les scories, dont la composition est typiquement : 25 % de , 53 % de FeO et moins de 0,6 % de nickel. (fr)
- Au-delà de , le nickel et le fer se combinent avec la silice et forment des silicates peu réactifs. (fr)
- Un quart du nickel est sous la forme métallique, le reste est encore oxydé. Le fer, qui représente 15 % du poids de cette poudre, n'est réduit en métal qu'à hauteur de 5 %, 95 % étant du FeO. Enfin, on y trouve 40 % de , 25 % de MgO, 2 % de charbon imbrûlé et 1 % d’. (fr)
- La composition des scories de four électrique est, typiquement : 40 à 55 % de , 20 à 30 % de MgO, 5 à 20 % de FeO , 1 à 7 % de CaO, 1 à 2 % d' et moins de 0,2 % de nickel . La production de scories est importante : un gros four électrique transforme quotidiennement de poudre calcinée en de ferronickel brut et de scories. (fr)
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