La libellule de gueules évoque les libellules écarlates et toute la faune qui hantent les étangs, les marais, les ruisseaux et le Rupt de Madt sur le finage de Bouconville.
Les rameaux sont ceux des saules qui bordent les rivages de ces plans d’eau. Ils représentent également les arbres de la forêt du village.
Le trèfle fait allusion à Saint Maurice auquel est vouée l’église de Bouconville – Saint Maurice a pour attribut une croix tréflée.
Les merlons du chef bastillé rappellent les éléments défensifs du vieux château qui appartenait au 14ème siècle à des membres de la famille des Comtes de Bar. Le champ d’azur et les deux croix recroisetées soulignent ce lien avec le comté puis le duché de Bar qui portait : D’azur semé de croix recroisetées au pied fiché d’or à deux bars adossés de même.
Bouconville sur Madt appartenait, sous l’ancien régime, au Barrois non mouvant ; il était siège d’une prévôté et d’une gruerie.
Croix de guerre 1914 -1918 (fr)