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| - La Prise de Constantinople est un roman de Jean Ricardou paru en 1965 aux Éditions de Minuit. L'ouvrage a reçu le prix Fénéon en 1966. Considéré comme une œuvre emblématique du Nouveau Roman, il amorce un virage au sein de ce mouvement. Il correspond en effet à un tournant majeur qui s'inscrit dans cette nouvelle phase dite du . (fr)
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| - La Prise de Constantinople est un roman de Jean Ricardou paru en 1965 aux Éditions de Minuit. L'ouvrage a reçu le prix Fénéon en 1966. Considéré comme une œuvre emblématique du Nouveau Roman, il amorce un virage au sein de ce mouvement. Il correspond en effet à un tournant majeur qui s'inscrit dans cette nouvelle phase dite du . Dans son livre Parables of Theory (1984), Lynn Higgins oppose le "classicisme" des Lieux-dits (1969), le troisième roman de Ricardou, au baroquisme de La Prise de Constantinople. Parmi les divers traits formels qui définissent l'art baroque, Higgins relève notamment certaines figures comme celles du "contraste et de la surprise", de "la théâtralité et de l'illusion" et les "principes du mouvement et de la métamorphose": "la stabilité est elle-même une illusion; en réalité elle est une forme extrêmement lente du changement", citation qui s'applique parfaitement à l'écriture minutieusement descriptive de Ricardou et aux révolutions minuscules qu'elle génère. Aussi, à partir d'un texte de Paul Valéry ("L'homme et la coquille"), Higgins rapproche la structure mobile du roman à la forme géométrique d'"une spirale, emblème du labyrinthe, sentier de quête pour un voyageur errant, et figure baroque par excellence". Higgins voit dans La Prise "l'œuvre de fiction la plus dynamique de Ricardou: "The novel's ludic dimension, more than a mise en scène of theory, remains open to the risks of its own desire and the unpredictability of its generative word-play". (fr)
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